Ce RPG SF brise toutes les règles du jeu vidéo… et il vous RECOMPENSE pour ça (personne n’était prêt)
Ce jeu ne se contente pas de vous observer… il vous juge. Et il adore ça. Il existe des jeux qui prennent vos choix en compte. Et puis il existe ce RPG SF, la dernière folie d’Obsidian, un studio déjà connu pour sa capacité à laisser les joueurs mettre le bazar dans leurs propres aventures. Mais là, c’est différent : le jeu analyse vos manies, répertorie vos mauvaises habitudes, se moque de vous… puis vous propose des bonus complètement décalés en échange de malus absurdes. Un système tellement malin, tellement méta, qu’on se surprend à rigoler en réalisant que oui… le jeu nous connaît mieux que nos potes.
Alors que la plupart des RPG se contentent de cocher les cases habituelles – karma, branches narratives, “conséquences” – celui-ci pousse l’idée plus loin. Beaucoup plus loin. C’est comme si le jeu vous suivait du regard, prêt à vous tendre un miroir dès que vous faites un truc “pas prévu par le manuel du parfait aventurier”.
Et le pire, c’est que ça fonctionne. Mieux : c’est génial.
Un RPG "à l’ancienne”… mais avec une intelligence moderne

Derrière son ton satirique, ses flingues rétrofuturistes et ses dialogues mordants, le jeu propose quelque chose qu’on avait presque oublié : un RPG où jouer “mal” est aussi amusant que jouer “bien”.
Obsidian assume totalement l’héritage Fallout et Deus Ex :
- liberté totale,
- choix permanents,
- héros façonné par vos décisions,
- monde réactif… même quand vous faites n’importe quoi.
Mais là où ce titre surprend, c’est dans sa manière d’intégrer vos comportements réels – pas seulement ceux dictés par les dialogues ou les quêtes. Votre style de jeu devient une donnée exploitée. Votre façon de survivre, de nettoyer les zones, de gérer le loot… tout est observé.
Et cette observation mène à l’un des systèmes de rôle les plus drôles et les plus intelligents de ces dernières années.
Les “Défauts” : un système brillant qui transforme vos travers en pouvoir
Voici le cœur du jeu : les Défauts. Des malus déclenchés automatiquement par votre manière de jouer… et qui vous proposent un bonus si vous acceptez d’assumer votre travers.
Un exemple simple :
Vous passez votre vie accroupi à éliminer les ennemis silencieusement ?
→ Le jeu vous colle un défaut : Genoux douloureux
- Vous faites du bruit en vous accroupissant, ce qui peut attirer des ennemis
- Mais vous obtenez +50% de vitesse en déplacement accroupi.
C’est brillant.
Vous aimez bourriner ? Vous rechargez trop souvent ? Vous fuyez tous les combats ? Vous êtes un voleur compulsif ?
Il y a un défaut pour tout. Et chaque défaut raconte une petite histoire sur votre manière de jouer.
Exemple 1 : Le “Glouton” – puni pour trop se soigner… mais pas totalement
Vous vous gavez de nourriture en combat pour récupérer vos PV ? Le jeu vous juge : → Défaut : Glouton
- Bonus : vos repas redonnent davantage de vie – Malus : vous perdez un peu de vitesse en combat, comme si vous aviez trop mangé.
C’est drôle, logique… et dangereux. Parce que ces défauts vous tentent. On accepte le malus juste pour obtenir un buff unique qui change notre manière d’aborder une zone.
Exemple 2 : Le “Kleptomane” – idée géniale, exécution hilarante
Vous volez TROP d’objets ? → Le jeu vous propose de devenir Kleptomane.
Bonus : Les objets volés se revendent plus cher. Malus : Vous volerez automatiquement certaines choses… sans le vouloir.
Résultat ? Vous déclenchez parfois une bagarre juste parce que votre personnage a “accidentellement” glissé une arme dans sa poche pendant un dialogue important.
C’est le genre de moment qui crée des souvenirs.
Exemple 3 : Le défaut le plus méta : “Les Pieds dans le Plat”
C’est probablement le défaut le plus génial.
Si vous passez votre vie à skip les dialogues pour foncer vers la fin… Le jeu vous regarde. Il attend. Puis il vous propose :
→ Défaut : Pieds dans le plat
- Bonus : +15% d’XP – Malus : vos réponses en dialogues seront choisies automatiquement si vous ne décidez pas assez vite.
Oui. Le jeu choisit pour vous. Il vous punit (ou vous récompense ?) pour votre impatience.
Et ce défaut résume parfaitement le ton du RPG : un jeu qui vous observe, vous pique, vous trolle… mais vous donne envie d’aller encore plus loin.
Un monde qui accepte (presque) tout ce que vous faites
Ce qui impressionne, ce n’est pas seulement le système de défauts. C’est la manière dont le jeu accepte que vous cassiez littéralement son scénario.
Exemple vécu :
Un PNJ important bloque un pont. Il veut que vous fassiez une quête annexe avant de vous laisser passer.
N’importe quel RPG moderne vous empêcherait de le tuer :
- PV infinis,
- script inviolable,
- ou disparition temporaire pour éviter le meurtre.
Ici ? Vous pouvez le tuer. Vous pouvez tuer TOUT LE MONDE si ça vous arrange. Le jeu vous laisse chercher la console, activer la passerelle vous-même, et poursuivre l’aventure comme si de rien n’était… sauf que le monde réagit réellement à vos actes.
Et cette liberté, même si elle mène parfois au chaos total, donne cette impression rare : on joue un vrai rôle, pas un personnage coincé dans un tunnel de choix pré-écrits.
Un RPG qui assume sa satire… et sa liberté totale
Le ton du jeu est satirique, moqueur, presque insolent. On sent qu’Obsidian s’est amusé à créer un univers où chaque décision peut être tournée en ridicule… mais jamais au détriment du joueur. Au contraire.
Ce titre récompense l’imprévu. Il récompense la créativité. Il récompense même la fainéantise et les mauvaises habitudes.
Et c’est ça qui le rend unique en 2025 : alors que la plupart des RPG modernes se prennent trop au sérieux, celui-ci assume totalement d’être un sandpit où l’on peut faire exploser les conventions.
Un RPG imparfait… mais mémorable
Oui, tout n’est pas parfait :
- quelques bugs,
- des zones parfois un peu vides,
- un rythme inégal.
Mais malgré ça, l’expérience fonctionne. Parce que ce jeu sait créer des histoires personnelles.
Pas juste les scènes écrites par les devs. LES VÔTRES. Celles qui naissent de vos erreurs, de vos manies, de vos excès, de vos trolls improvisés.
Et ça, c’est rare.
Conclusion : un RPG qui vous comprend trop bien
Ce jeu n’a pas seulement des mécaniques intelligentes. Il a compris quelque chose de fondamental :
Les joueurs adorent être surpris… même par leurs propres défauts.
Avec son humour mordant, ses systèmes méta, et sa capacité à réagir à tout ce que vous faites, ce RPG SF propose une expérience vraiment différente, vraiment drôle, vraiment libre.
Un jeu qui ne vous punit pas pour briser les règles, mais qui vous dit : “Vas-y. Continue. Assume. Amuse-toi.”
Et rien que pour ça, il mérite d’être joué.
Passinné en jeuxvidéo, high tech, config PC, je vous concote les meilleurs articles
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